La bande-annonce officielle révèle la mort d'un des protagonistes (encore) avant la fin

Quelle saison de Élite serait-ce sans un autre crime !? Pas même le temps de se remettre des événements sanglants qui avaient conclu le cycle précédent que le drame pour adolescents espagnol sans scrupules de Netflix jette aux pieds de ses nombreux fans une série de points d'interrogation sur la mort – apparemment le meurtre – d'un autre de ses jeunes protagonistes. Un autre rebondissement sensationnel avait été bien gardé jusqu'à aujourd'hui, à l'occasion de la sortie de bande annonce officielle de la huitième et dernière saison.

Elite 8 : Qu'est-ce qui nous attend dans la dernière saison ?

Disponible en streaming à partir du 26 juillet, l'ultime saison de sera comme les précédentes un tourbillon de situations entre le tragique, l'érotique et le non-sens. Le coup tombe assez tôt lorsqu'on voit le corps ensanglanté de Joël (joué par Fernando Lindez) gisant sans vie dans l'herbe. « Je ne veux qu'une chose : me venger. Je pense à Joël et je veux faire la même chose à celui qui l'a tué », dit Iván (André Lamoglia) immédiatement après. Sa mort pourrait être liée à au moins un des deux nouveaux personnages arrivés à Las Encinas, les frères Emilia et Héctor Krawietz (Pourriture de l'ane Et Nuno Gallego), responsable de l'association des anciens élèves, apparemment un club de plaisir.

Influents, puissants, corrompus et corrupteurs, les Krawietz sèmeront le chaos partout où ils iront et détruiront la vie de ceux qui en deviennent la proie. Apparemment, Joël, sur lequel Héctor va bientôt jeter son dévolu, paiera le prix le plus élevé, laissant Iván et Omar (Omar Ayuso), ses récents intérêts amoureux, en désespoir de cause. Seul ce dernier, réuni entre-temps avec sa sœur Nadia (Mina El Hammani, vu pour la dernière fois dans la quatrième saison), saura les affronter, et sera prêt à tout pour les voir tomber. Parce qu’en fin de compte, ils représentent tout ce qui ne va pas à Las Encinas. Évidemment, la totale maîtrise de soi d'Isadora ne doit pas non plus être sous-estimée (Valentina Zénère), désormais le dernier capable de ramener toute l'histoire à une dimension légère.